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    Design of Group IIA Secreted/Synovial Phospholipase A2 Inhibitors: An Oxadiazolone Derivative Suppresses Chondrocyte Prostaglandin E2 Secretion

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    Group IIA secreted/synovial phospholipase A2 (GIIAPLA2) is an enzyme involved in the synthesis of eicosanoids such as prostaglandin E2 (PGE2), the main eicosanoid contributing to pain and inflammation in rheumatic diseases. We designed, by molecular modeling, 7 novel analogs of 3-{4-[5(indol-1-yl)pentoxy]benzyl}-4H-1,2,4-oxadiazol-5-one, denoted C1, an inhibitor of the GIIAPLA2 enzyme. We report the results of molecular dynamics studies of the complexes between these derivatives and GIIAPLA2, along with their chemical synthesis and results from PLA2 inhibition tests. Modeling predicted some derivatives to display greater GIIAPLA2 affinities than did C1, and such predictions were confirmed by in vitro PLA2 enzymatic tests. Compound C8, endowed with the most favorable energy balance, was shown experimentally to be the strongest GIIAPLA2 inhibitor. Moreover, it displayed an anti-inflammatory activity on rabbit articular chondrocytes, as shown by its capacity to inhibit IL-1β-stimulated PGE2 secretion in these cells. Interestingly, it did not modify the COX-1 to COX-2 ratio. C8 is therefore a potential candidate for anti-inflammatory therapy in joints

    Molécules intervenant dans la régulation de la pigmentation cutanée

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    Le but de ce travail bibliographique était de répertorier les différentes molécules aux vertus dépigmentantes connues aujourd'hui et utilisées dans le traitement des troubles hyperpigmentaires. La physiologie de la peau et de la pigmentation cutanée est rappelée dans cette thèse afin de mieux comprendre par la suite le mécanisme d'action des divers agents blanchissants. La synthèse de la mélanine est décrite en détail, ainsi que les différents facteurs qui la contrôlent ou la perturbent par un phénomène d'hyperactivation. Trois types d'hyperpigmentations couramment observés sont également mis en avant dans cette thèse : le mélasma, les lentigines, l'yperpigmentation post-inflammatoire. Ces trois désordres cutanés serviront de base à l'évaluation de divers agents dépigmentants. Les méthodes d'évaluation de l'effet des diverses molécules ont été étudiées au cours de ce travail. Enfin, cette thèse définit la liste des principaux agents dépigmentants utilisés en cosmétologie et/ou en dermatologie dans le traitement des désordres hyperpigmentaires. Leur site et leur mode d'action, la description des études qui ont permis leur évaluation, les effets secondaires qui leurs sont associés, ainsi que leur utilité en dermocosmétologie sont décrits dans ce travaiTOURS-BU Sciences Pharmacie (372612104) / SudocPARIS-BIUP (751062107) / SudocSudocFranceF

    Analyse des caractéristiques de la peau indienne

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    L'exposition répétée au soleil entraine des changements cliniques, histologiques et physiologiques de la peau décrits comme le photovieillissement ou l'héliodermie. Les signes cliniques associés sont généralement fonction du niveau d'exposition solaire et de la photoprotection naturelle propre à chaque individu. La couleur de la peau et l'origine ethnique sont donc des facteurs à prendre en considération. Une étude sur 300 femmes indiennes a été menée à Bombay dans le but de décrire les caractéristiques et l'évolution avec l'âge d'une peau saine indienne. Des photographies du visage de ces femmes ont été prises lors de l'évaluation cliniques et des mesures biométrologiques. Le but de ce travail est de proposer une échelle photographique de cotation du photovieillissement adaptée aux peaux indiennes. Après analyse bibliographique des méthodes de construction de ce système de cotation, une échelle photographique en 9 points a été construite et testée. Les différentes manifestations cliniques du photovieillissement telles que les rides, la ptose, les irrégularités pigmentaires ont été mesurées, prises en compte dans l'échelle et leur importance chez les indiennes discutée.TOURS-BU Sciences Pharmacie (372612104) / SudocSudocFranceF

    La Cigüe et les autres apiacées toxiques (de Socrate au Centre anti-poison)

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    La famille des Apiacées, anciennement nommées ombellifères, regroupe près de 4250 espèces réparties en environ 460 genres. C est une famille très homogène que l on rencontre communément dans toutes les régions tempérées du nord. Certaines Apiacées sont toxiques et cette toxicité peut s exprimer sous deux formes : une toxicité par photosensibilisation et une toxicité par ingestion. Parmi les Apiacées toxiques par ingestion, on retrouve la Cigüe Vireuse, l Oenanthe Safranée et la Grande Cigüe. Ces espèces sont très proches morphologiquement et il est donc important de pouvoir les reconnaitre et de bien savoir les différencier des Apiacées alimentaires La grande Cigüe, Conium maculatum, encore appelée Cigüe tachetée est l'une des plantes les plus toxiques du règne végétal. En effet, il existe de nombreux rapports faisant état de morts survenues par ingestion de Cigüe, à plus ou moins grande échelle, et ceci sur de nombreuses espèces animales dont l'homme. La condamnation de Socrate à boire la Cigüe a certainement joué un rôle prépondérant dans la réputation de grande dangerosité de cette plante. Il était donc intéressant de s attarder plus longuement sur les alcaloïdes responsables de sa toxicité chez l Homme et sur le bétail, et enfin de confronter la réalité des intoxications actuelles aux Apiacées grâce aux données recueillies par le centre anti-poison d Angers.TOURS-BU Sciences Pharmacie (372612104) / SudocSudocFranceF
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